samedi 21 décembre 2013

The Wolf Of Wall street : version bouquin!

Vous avez sûrement vu les bandes-annonces à la télévision du prochain film de Scorcese, hein? 
Non? 
Ben, checkez-ça : 


Ça, mesdames et messieurs, c'est une histoire vraie. 
Jordan Belfort, c'est lui. 


Né en 1962, M. Belfort est un ancien trader américain. Les gens de la finance le prénommaient à l'époque le Loup de Wall Street. En 1990, il a fondé sa propre société de courtage, Stratton Oakmont

Le monsieur, il faisait de l'argent en titi. Et, comme on a pu le voir dans notre belle province avec la Commission Charbonneau, y'a beaucoup de gens qui aime le pouvoir et qui on du cash qui virent un moment donné dans la fraude et les trucs croches. C'est exactement ce qui est arrivé à Jordan Belfort qui a sombré (et le mot est faible ici!) dans la drogue et qui a été arrêté pour détournements de fonds en 1998. 

Ce jeune quinquagénaire publiait en 2007 son premier mémoire, The Wolf of Wall Street. 
L'histoire, son histoire, qu'il raconte dans ce livre, paraîtra au cinéma le 25 décembre prochain.
Réalisé par Martin Scorcese et mettant en vedette Leonardo Dicaprio dans le rôle du loup, ce film me semblait assez intéressant et c'est pourquoi je me suis lancée dans la lecture de cette biographie plutôt trash. 



Sans vouloir dévoiler de punchs, le gars était tellement riche qu'il organisait des concours de lancer de nains pour amuser ses employés. YEP, madame. Le gars était tellement accro au Mandrax, qu'au lieu de prendre qu'un seul comprimé, il en prenait 7 d'un coup. Ça va l'abus? Et ça, c'est sans parler de la coke, ou des escortes... 

Jordan Belfort a mené une vie de débauche. Le mot aurait pu être inventé pour lui sincèrement. Le récit dont il nous fait part est vraiment divertissant et à la fois extrêmement troublant. À chaque "connerie" évoquée, il faut se rappeler que ces choses sont véritablement arrivées. Ce n'est pas de la fiction. Et la débauche finie rarement sur une bonne note, n'est-ce pas? 

Un livre fortement intéressant à lire, même si comme moi, vous ne comprenez rien à l'économie et à la Bourse. The Wolf of Wall Street, c'est un portrait de la déchéance en 528 pages.

C'est cru, c'est sale, pis ça n'a aucun bon sens. 

Comme il est écrit sur la page couverture du livre "I partied like a rock star. Lived like a king and barely survived", et ça résume assez bien ce qui se retrouve dans ce bouquin. 

Sachez que le livre est disponible en français sous Le loup de Wall Street et que la traduction est bien correcte! 

Je vous reparle certainement du film dans les prochaines semaines! (J'ai dont hâte de voir des images de cette histoire... Ça risque d'être quelque chose!) 

D'ici là, bonne lecture. Ü


dimanche 15 décembre 2013

Concours : La Culturée m'envoie au cinéma!

Un petit concours pour vous gâter en ce début du temps des fêtes. 

Fan de hockey? 
Mais surtout, fan des Boys? 
Courez la chance de gagner un laissez-passer double pour le film Il était une fois les boys!



Un film de Richard Goudreau mettant en vedette Rémy Girard, Marc Messier, Pierre Lebeau, Luc Guérin et Yvan Ponton. Cependant, ils ne reprennent pas leur célèbre rôle de hockeyeur cette fois-ci! On se transporte dans les années 60 où la grande histoire d'amitié qui unit Marcel, Bob, Fern, Méo, Stan, Jean-Charles commence. 

Découvrez le passé des Boys avec ce nouveau film de la série!

Pour participer: 
1- Cliquez "J'aime" sur la page Facebook de La Culturée. 
2- Laissez un commentaire au bas de l'article en me disant qui est votre Boys préféré, ainsi que votre adresse courriel. 

Le tirage aura lieu le vendredi 20 décembre à midi!
Surveillez la page Facebook de La Culturée pour les résultats! 


samedi 30 novembre 2013

Les Revenants = à voir absolument.

Il fait frette, on s'emmitoufle dans nos grosses couvertes de laine, une tasse de chocolat chaud ou de thé à la main...
Manque plus qu'une bonne série télé pour profiter au maximum de nos journées de congé!

Je vous suggère Les Revenants, une série française produit par Canal +, qui est présentement disponible sur Tou.tv et qui sera présentée à ARTV dès janvier.

Un pur délice de 8 épisodes de 52 minutes qui a d'ailleurs gagné l'International Emmy Award pour la meilleure série dramatique cette année. 

Il s'agit d'une adaptation télévisée du film du même nom de Robin Campillo sorti en 2004. La série prend place dans un petit village et met en scène quelques personnes qui reviennent à la vie, qu'elles soient mortes il y a plusieurs décennies ou quelques années. Pourquoi sont-ils revenus? Et pourquoi eux? Ces revenants sont comme vous et moi, simplement ils n'arrivent jamais à dormir et ont toujours faim.


Les revenants, c'est :
- Camille, une jeune adolescente morte dans un accident d'autocar en 2008. Son histoire avec sa soeur jumelle est tellement étrange.
-Simon, un jeune homme qui est mort le jour de son mariage en 2002. Les retrouvailles avec sa femme et sa fille seront difficiles...
-Victor, un petit garçon assassiné en 1977 par des cambrioleurs. Le personnage le plus fucké... Très silencieux et... brrr! Il fait un peu peur. :-) 
-Serge, un ancien tueur en série qui retrouve ses mauvaises habitudes en revenant à la vie.

On est loin de Walking Dead, je vous assure. Ce n'est pas du tout le même genre, mais c'est tout aussi intrigant!

Une série magnifique visuellement parlant, mais aussi très prenante. Les personnages sont attachants malgré le côté glauque de l'histoire. L'ambiance est tendue, on ne sait pas trop ce qui va arriver... La série vous fera d'ailleurs penser à Twin Peaks, c'est certain!

La série nous plonge dans une ambiance assez lourde et plutôt inquiétante. Impossible, durant les épisodes, de ne pas penser à "si ça nous arrivait...qu'est-ce qu'on ferait?"Vous vous imaginez, le matin en train de manger vos toasts et pouf, votre grand-père mort depuis 10 ans apparaît dans votre cuisine de même!

En passant, la musique y est excellente. C'est Mogwai qui a composé la musique pour la série. Des beaux punchs musicaux qui ajoutent à l'atmosphère intrigant!

Le tournage de la saison 2 débutera en février prochain et la diffusion est prévue pour l'automne 2014.

Sincèrement, allez vous gâter. Cliquez ici pour écouter le 1er épisode sur Tou.tv.



P.s. Moi j'ai malencontreusement écouté le dernier épisode en premier. Ne répétez pas ma gaffe! 

mercredi 20 novembre 2013

Chronique DVD : This is the end

Des fois, j'aime surprendre mon petit cerveau snobinet et lui présenter des films ludiques et légers!
Oui, oui, j'suis de même!

Bref, récemment, après avoir entendu du bien du film This is the end, je me suis dit : Why not, peanut?
Au pire, je serai juste déçue comme dans 90% des cas des comédies que j'écoute.
Ben câline, c't'ait pas pire du tout cette petite comédie apocalyptique.



Paru en 2013, ce film est une réalisation de Seth Rogen et Evan Golberg et met en vedette James Franco, Jonah Hill, Jay Baruchel, Danny McBride et Craig Robinson entre autres. Mais une méchante brochette de célébrités viennent faire leur tour dans ce long métrage : Rihanna, Emma Watson, Michael Cera (en coké = hilarant), Channing Tatum... Bref, du beau monde.
Et ce qui est sympathique là-dedans, c'est que les acteurs n'interprètent pas n'importe quel personnage, non non, ils s'incarnent eux-mêmes!

Jay Baruchel débarque à Los Angeles pour venir voir son ami Seth Rogen. Ce dernier l'invite à un party chez James Franco. Il veut pas, mais finit par y aller quand même. Lorsque tout à coup, c'est la fin du monde. Yep, rien de moins.

Écoutez pas ce film-là si vous voulez réfléchir sur le sens de la vie, c'est pas ça du tout le mandat du film. Au contraire, on passe d'une scène d'une absurdité intense à une autre scène encore plus inimaginable. Quelques gags tombent à plat, mais je l'avoue, j'ai ri à plusieurs reprises. Ce qui veut dire que : c'est une comédie réussie.


Un bon petit film à écouter le samedi matin en mangeant des croissants bien chauds et croustillants. 






vendredi 8 novembre 2013

Patrick Watson Symphonique ou le plus beau concert que j'ai vu de ma vie.


J’ai eu la chance inouïe d’assister hier soir au premier concert Coup de Foudre présenté par Hydro-Québec hier soir au Grand Théâtre de Québec mettant en vedette l’Orchestre Symphonique de Québec et nul autre que... Patrick Watson!

Source : Le Soleil
Prix du billet : 25$
Durée du trajet pour s’y rendre : 2h30

Ce que je payerais pour voir ce spectacle une deuxième fois : 25 millions de dollars.
Le nombre d’heures de route que je serais prête à faire pour revoir ce spectacle : 4 millions  (je vous ai dit que j’haïs faire du char?)

Je peux-tu vous dire que je suis fière de mon achat? Pas seulement fière, mais tellement chanceuse d’avoir vu ce beau concert. On est entre nous, je vais vous le dire : j’ai braillé 3 fois pendant le show. (La première fois étant après les 2 premières notes de la première chanson interprétée.  YEP, beau à ce point-là!)

Non, mais depuis quand on braille dans un concert?

Pis depuis quand est-ce que le chef d’orchestre s’adresse à la salle, en disant en plus le score du match de hockey en cours? C’est dont ben le fun Québec! Sincèrement, un gros bravo au chef Stéphane Laforest pour le beau travail. C’était majestueux.

OK, parlons spectacle. Parlons Patrick Watson.
C’était (honte à moi!) la première fois que je voyais le groupe en spectacle. Quel baptême! Difficile de ne pas être ensorcelée par la voix douce et éraillée de Patrick Watson et ses pièces au piano si délicates. Impossible de ne pas entrer dans une sorte de bulle, d’entrer dans une sorte de transe … On est juste bien quand on écoute du Patrick Watson. Alors, imaginez quand on y ajoute un orchestre de grand talent comme l’OSQ…

Les moments forts :

Lighthouse – Ma préférée et la première de la soirée. Allô, j’ai les yeux pleins d’eau.
To build a home – Allô je pleure et je frissonne.
Where the wild things are – Allô, c’est beau, pis je pleure encore.
Beijing – Avec la présence de l’orchestre, la pièce prenait tout son sens. Un moment magique!
(Je dirais le show au complet, mais t’sais… OH PIS JE LE DIS!)
LE SPECTACLE AU COMPLET, c’pas mêlant.

Sincèrement, le plus beau concert que j’ai vu de ma vie.
Sincèrement, un des moments les plus magiques de ma vie.
Rien que ça.

Sur ce, soyez jaloux. Ü

P.S. En passant, le groupe répète l’expérience symphonique à Montréal le 15, 16 et 17 novembre à l’Église St-Jean-Baptiste avec l’orchestre Cinéma L’Amour. C’est complet, mais ça l’air que quelques billets seront mis en vente bientôt… À suivre! (Croyez-moi, si je peux y retourner, j’y vais!)


jeudi 24 octobre 2013

Gravity ou quand ça va mal ...

Ben oui, encore du cinéma!
Ça doit être la froidure qui me ramène devant les grands écrans.
Et croyez-moi, Gravity se doit d'être vu sur écran géant.


Gravity d'Alfonso Cuarón (Children of men, Y tu mamá también, Harry Potter and the prisoner of Azkaban) était un pari risqué. J'étais convaincue (plusieurs pourront vous le confirmer!) que ce film serait un flop monumental.  Non, mais salut! Tourné un film complet avec 2 acteurs devant des écrans verts avec une histoire assez boboche... Ben câline, si je vous en parle aujourd'hui, ça devait pas être mauvais, non? 


Mettant en vedette Sandra Bullock et George Clooney, le film raconte l'histoire d'une grosse bad luck, suivi d'une autre bad luck et d'une autre et d'une autre. Sincèrement, ça peut pas plus mal aller que ça dans ta vie, en tout cas, dans l'espace. Les deux astronautes font des travaux à l'extérieur quand une tempête de débris les surprend et détruit leur navette. Afin de survivre, ils doivent regagner la station spatiale internationale. 

Sincèrement, niveau scénario, disons simplement que ce n'est pas la force du film. 
Ce qui fait le film, c'est l'ambiance et la 3D. 
Yep, vous avez bien lu, je viens de dire que la 3D fait le film. (Notez la date quelque part, ce n'est jamais arrivé avant!) 

Cuarón vous invite carrément à voyager avec les astronautes, à vivre la tempête de débris, à capoter quand on manque d'oxygène, mais aussi à avoir le souffle coupé devant le lever du soleil, devant les images saisissantes de la Terre ... Les plans en caméra subjective sont réussis et vous plongent directement dans l'action (lire la panique). Car même si Bullock et Clooney sont les seuls personnages présents à l'écran, on a l'impression de faire partie de l'équipage. 


Bref, pour une fille qui était certaine qu'elle ne verrait jamais Gravity, je dois vous avouer que c'est un très bon moment à passer. Oui, bon, quelques défauts, mais au final, c'est à voir. AU CINÉMA. 


En terminant, mon Homme a trouvé ça sur le web et ça résume assez bien le film. ;-)

Avez-vous vu le film, qu'en avez-vous pensé?

mercredi 9 octobre 2013

Denis Villeneuve à Hollywood

Écoutez, ça fait deux dimanches de suite que je vais au cinéma et câline, je suis fière du génie québécois. On a rien à envier aux autres nations, on fait du maudit bon cinéma.





Denis Villeneuve fait une entrée remarquée chez nos voisins du sud.
Avez-vous vu Prisoners? DÉ-BI-LE!
J'adore les films de suspense, les thrillers, mais les bons, les vrais sont rares.
Prisoners est un véritable chef-d'oeuvre mélangeant un savant mélange d'intelligence, d'angoisse et de rage.


Mettant en vedette Hugh Jackman et Jake Gyllenhaal, le film raconte la disparition de deux fillettes lors d'un dîner d'Action de grâce. Un suspect est appréhendé, mais est-ce vraiment lui le coupable? La police en fait-elle assez pour retrouver les petites? Jusqu'où un père ira-t-il pour sauver sa petite?

Dit comme ça, ça fait cliché. Sincèrement, au début du film, je pensais écouter The Killing. De la pluie torrentielle, un père vengeur, une mère qui braille et qui remet en doute le père, "tu étais sensé nous protéger", etc. Heureusement pour nous, ça prend une tournure très intéressante nous menant dans un labyrinthe plutôt troublant.


Mention spéciale à Paul Dano, mon cher acteur que j'aime tant et qui m'avait renversé dans Little Miss Sunshine qui encore une fois crève l'écran dans le rôle d'un jeune homme troublé et pas tout là mentalement. Sincèrement, un acteur à suivre!

Votre cerveau travaille, il veut résoudre l'énigme. Votre coeur lui bat vite, votre souffle s'essouffle, vos doigts se tordent.

Un beau 2h30 d'angoisse et de vrai divertissement.  
10/10. 

dimanche 29 septembre 2013

Gabrielle : un bijou.

Enfin, aujourd'hui j'ai eu un peu de temps pour me gâter : direction cinéma!

Sincèrement, prenez du temps pour vous et rendez-vous devant le grand écran le plus près de chez vous pour voir le magnifique film Gabrielle de Louise Archambault.



Gabrielle raconte l'histoire d'une jeune femme atteinte de la maladie de Williams, amoureuse de Martin, lui aussi handicapé. Elle aimerait vivre en appartement, être autonome...

Elle fait partie de la chorale Les Muses composée de personnes handicapées intellectuellement et la musique prend une place importante dans sa vie et celle de son amoureux. Et oubliez ça, impossible de ne pas avoir le motton quand toute la chorale entonne Ordinaire de Charlebois.

Un récit touchant certes, mais qui nous rappelle que l'amour, ça touche tout le monde et c'est normal pour tous peu importe leur condition mentale ou physique.

Un film d'une sensibilité exceptionnelle qui vous fait sourire et inonde vos yeux.

Je n'ai sincèrement pas de mot pour vous décrire le sentiment ressenti lorsque vous sortirez de la salle après la représentation, sinon un bien-être de savoir que des personnes comme la réalisatrice Louise Archambault s'occupent de raconter l'histoire de tous sans jugement.



Gabrielle Marion-Rivard, l'interprète de Gabrielle, est tout simplement la personne la plus attachante que j'ai vue sur un écran cette année. Un rayon de soleil. Elle partage l'écran avec Mélissa Desormeaux-Poulin, Alexandre Landry, Vincent-Guillaume Otis, Isabelle Vincent.

Un bijou, c'est ça Gabrielle. 

Et sincèrement, je souhaite la plus grande des chances au film puisqu'il est le représentant du Canada pour la course aux Oscars. Et croyez-moi, cette oeuvre à toutes les chances de repartir avec la statuette pour son histoire qui se transpose dans tous les milieux et sa grande humanité. :-)


lundi 9 septembre 2013

VENUS NOIRE : malaise, par dessus malaise.

Ne méprenez pas le titre de cet article pour un "quel mauvais film rempli de malaises". 
Que nenni! C'est un excellent film (justement!) pour tous les malaises qu'il nous fait vivre!





Vénus Noire d'Abdellatif Kechiche est sorti en 2010.
Yep, je suis en retard, mais comme dit l'adage : mieux vaut tard que jamais. 

Le film raconte l'histoire de l'Africaine Saartjie Baartman, une demoiselle d'ethnie khoisan, mieux connue sous le nom de Vénus Hottentote. L'histoire se déroule en Europe, en 1810, où Saartjie et son maître Caezar font des spectacles dignes de mauvais canarvals. Elle est traitée comme une bête de foire, humiliée en public... Caezar la présente à son public comme une sauvage qu'il a capturée et dressée. Il laisse le public la toucher, surtout son postérieur géant, caractéristique unique à sa tribu. Évidemment Saartjie a quitté son pays d'elle même, mais on lui avait promis de faire des spectacles, pas de passer pour une freak devant une foule curieuse et voyeuse.
Malheureusement pour elle, les choses ne feront qu'empirer...


Le plus choquant là-dedans, c'est que : C'EST UNE HISTOIRE VRAIE, bâzouèlle.
Moi, j'étais là, je souffrais de gêne et de malaises multiples depuis 159 minutes et pouf! Les informations à la fin du film m'apprennent que ce que je viens de difficilement regarder est véritablement arrivé. Que le corps de Saartjie Baartman a été exposé au Musée de l'Homme à Paris pour de vrai. (Je sais peut-être que des fois, je devrais lire le résumé avant de me lancé dans un film! Ça m'éviterait des surprises tristes de même!)


Bref, un film dérangeant, mais nécessaire. 
Vous n'en pourrez plus de voir tout ce qu'on lui fait faire, de voir comment on traitait les gens de race noire à l'époque.



mercredi 4 septembre 2013

Kofü Ecodesign : des oeuvres d'art en accessoires!

C'est la première fois que je fais un article mode ici. Habituellement, je réserve ça pour Les Carnets Mode. 

Mais si vous lisez bien la description du blogue en haut à gauche, ça dit bien : 
"La Culturée, c'est un blog culturel. C'est moi qui jase, qui critique, pis qui jase encore... [...] Pis ben, j'aime les arts au complet, pas de discrimination. " 

Aujourd'hui, je vous parle bijoux parce que sincèrement la collection que je vous présente est digne de mention "Petits chefs d'oeuvres à mettre autour du cou." 

Kofü Design est une marque de bijoux montréalaise qui utilise des matériaux recyclés comme la dentelle et le cuir pour créer des accessoires magnifiques pour la femme moderne! 

Gros coup de coeur pour ces bijoux si fins, originaux et tellement féminins! 

Snowy White Bridal Long Necklace : MON COUP DE COEUR! *bave*
J'ai eu la chance de poser quelques questions à Valérie Fréchette, designer de Kofü Design. 

Qu'est-ce qui t'as poussé à faire des bijoux avec des trucs recyclés?
Je crois sincèrement qu’il est possible de consommer moins en se tournant vers des sources de matières premières pré-existantes. Surtout en mode, la durée de vie d’un article, vêtement ou bijou, s’amenuise à vue d’œil. Je tente d’offrir au consommateur une alternative qui diminue réellement l’impact de son achat sur la planète. En moyenne, les bijoux Kofü Ecodesign sont composés de 50 à 100% de matière recyclée.

Pourquoi la dentelle? 
"L’usage de la dentelle dans mes créations permet de me distinguer des nombreux autres créateurs de bijoux, en plus d’ajouter une touche d’originalité aux designs. Les dentelles que je trouve, (car il s’agit bien d’une chasse au trésor pour trouver de la dentelle de guipure usagée!) m’inspire et me guide dans la création d’une nouvelle collection. Chaque modèle est créé en quantité limitée étant donné la source de la matière première. L’ajout de cuir recyclé au bijou donne un côté osé et rocker, au côté aérien et délicat de la dentelle. Je recherche cet équilibre dans toutes mes créations; je créé pour la femme à la fois fonceuse et raffinée."

Comment décrirais-tu le style de Kofü EcoDesign? 
Urbain, sexy, raffiné, stylisé, authentique et féminin.


Kofü Design lançait sa collection Automne-Hiver 2013-2014 le 3 septembre dernier. Les inspirations de la designer? Le noir et le blanc et l'opposition de la délicatesse de la dentelle au côté rocker du cuir. 

Voici quelques photos mettant en vedette de nouvelles créations. : 


Mon coup de coeur de la nouvelle collection! 

Pour plus d'informations sur ces beaux morceaux :  

Elle sera au Projet Écosphère de Ville Brome le 21 et 22 septembre prochain au kiosque M27 sous le chapiteau "Mode et design"

De plus, pour tout le mois de septembre, il y une promotion en collaboration avec Mekar soins bioactifs. Avec tout achat de 90$ ou plus de produits Mekar, vous obtenez une paire de boucles d'oreilles gratuites de Kofü Ecodesign.

lundi 2 septembre 2013

AMOUR : parce qu'on ferait tout par amour ...

OK, vous avez le goût d'en brailler une petit shot ce soir?
J'ai ce qu'il vous faut.



AMOUR de Michael Haneke.
La palme d'or du festival de Cannes en 2013.
Mettant en vedette Jean-Louis Trintignant et Emmanuelle Riva, qui à mon humble avis, aurait dû remporter tous les prix pour lesquels ils étaient nominés.

Georges et Anne, deux octogénaires retraités et ô combien amoureux profitent paisiblement du temps qu'il leur reste. Jusqu'au jour où Anne est victime d'une attaque cérébrale l'a laissant paralysée du côté droit. Un accident qui bouleverse leur quotidien et teste leur amour ...

Déjà, vous avez le motton à lire le résumé, je sais.
Le film est immensément triste, mais prodigieusement beau.  

Haneke sait (comme toujours!- Rappelez-vous The White Ribbon, palme d'or 2009) venir jouer au plus profond de vous avec ses films. Ça nous touche de manière viscérale. Ça vient vous remuer en dedans là.
On feel pas bien, mais câline, on est devant une réalité qui va nous arriver un jour où l'autre malheureusement. Parce qu'au fond Amour, c'est une chronique d'une mort annoncée...

Bref, Amour, c'est être émerveillé par deux acteurs époustouflant, un film sensible et touchant dans sa simplicité et être renversé par une histoire d'amour aussi banale que véridique.

Bon cinéma. (Et vivement le prochain film d'Haneke!)



jeudi 29 août 2013

Une petite lecture légère pour bien finir l'été!

Il ne reste que quelques jours avant la rentrée des classes (la mienne en tout cas!) et il est toujours bon de prendre un peu de temps pour soi avant d'aller se faire aller le cerveau full pine en cours, non?

Je vous suggère donc un petit roman sympathique parfait pour vos derniers jours de liberté.


Le titre déjà donne le sourire, hein?

Jonas Jonasson, écrivain et journaliste suédois, nous amène ici dans une histoire rocambolesque ultra farfelue. (Et c'est tellement le fun dire le mot farfelu by the way!)

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire est son premier roman et met en scène le nouveau centenaire Allan Karlsson, qui comme le dit le titre, ne veut pas souffler ses 100 bougies. Alors que la maison de retraite organise une petite fête en son honneur, Allan décide de fuguer.

Bref, un centenaire en cavale déjà c'est un peu invraisemblable et rigolo, mais là en plus, l'auteur lui bricole un passé impossible le reliant à presque tous les moments historiques/guerres/premiers-ministres/bombes atomiques que la terre aient connus. Ah, et je vous ai dit que Karlsson est un expert en explosif!?

L'histoire prend son envol quand après avoir fugué et s'être rendu jusqu'à la gare la plus proche, Allan se pousse avec la valise d'un jeune homme qui lui avait demandé de surveiller son bagage pendant qu'il allait se soulager aux toilettes. Il avait juste à se dépêcher le gamin, hein?

468 pages de pur délire... et de pur plaisir! Sincèrement, il ne m'était jamais arrivé de rire et de m'étonner "de manière audible", mais là, c'est arrivé à plusieurs reprises avec ce petit bijou.

Bonne lecture!

dimanche 25 août 2013

Unité 9 version Netflix!

Pour tous ceux qui sont abonnés à Netflix, arrêtez ce que vous faites maintenant et lisez ceci. 
(Les autres, abonnez-vous à Netflix et revenez lire ceci!)


Orange is the New Black est une nouvelle comédie dramatique produite et diffusée en exclusivité sur Netflix, le plus populaire des sites de télé sur demande. Mettant en vedette des demoiselles qu'on ne connait pas (mis à part l'excellente Laura Prepon qu'on n'avait pas vu depuis longtemps!) est une création de Jenji Kohan, l'auteur derrière la populaire télésérie Weeds. Elle s'est inspirée du mémoire "Orange is the new black" de Piper Kerman qui y raconte sa propre expérience en prison.

Cette série de 13 épisodes d'une heure se déroule dans une prison américaine pour femmes. Piper vient purger 15 mois de prison après avoir été accusée d'un crime qu'elle a commis il y a plus de 10 ans avec son ancienne petite amie de l'époque, Alex. 

La force de cette émission réside dans la variété des personnages. Une vieille femme aigrie, une femme transgenre, des junkies, une chrétienne... Méchante brochette! Chacune de ses femmes a une histoire touchante et l'on découvre un peu plus leur passé à chaque épisode. Les clans formés en prisons, selon les nationalités forgent une ambiance assez intéressante aussi. Les noires, les latinas, les vieilles... Et on finit par s'attacher à tout le monde! 


Piper nous amène avec elle en prison. On essaie, comme elle, de s'acclimater à ce monde étrange et inconnu géré d'une drôle de façon. Elle apprendre à la dur comment survivre dans le monde carcéral féminin... 

Ceux qui aime Unité 9 y trouveront certainement leur compte avec cet univers carcéral féminin grâce aux fortes personnalités qui s'y retrouvent et les sujets abordés. 

Ceux qui n'aime pas Unité 9 s'y plairont aussi, car on ne fait pas qu'être triste dans la prison de Litchfield, on rit beaucoup. Orange is the New Black marche grâce à son savant mélange de drame et de comédie. 

Une série qui vaut sincèrement la peine d'être regardée! Pour le jeu des acteurs (autant ceux qu'on aime, que ceux qu'on adore détester (Pornstache!), pour les textes savoureux et les situations étonnantes, touchantes ou malaisantes!

Et joie de vivre, tous les épisodes ont été mis en ligne dès la première journée donc vive la rafale! 

dimanche 11 août 2013

Woodkid : du génie cuivré

Connaissez-vous Woodkid?


Mon copain est un grand geek et moi un grande mélomane. Il y a deux ans, un vidéo du jeu Assassin's Creed : Revelations buzze sur Youtube et attire notre attention. Ce qui nous accroche : la chanson qui y joue. Mélange de cuivres, ton épique, voix éraillée, on est tout de suite conquis. Iron de Woodkid. Illico, on télécharge le EP de l'artiste et on écoute en boucle la dite chanson.

Woodkid, c'est Yoann Lemoine, un réalisateur français bien connu qui fait des vidéoclips extraordinaires. C'est à lui qu'on doit, entre autre, les clips Born to die et Blue Jeans de Lana Del Rey ou encore Teenage Dream de Katy Perry. Il a travaillé avec Rihanna, Drake, Moby, Taylor Swift...  Ses clips sont géniaux, gros kick sur ceux de Lana Del Rey, mais aussi ceux qu'il réalise pour ses propres chansons. (voir plus bas!)

Mais c'est aussi un chanteur. Son premier album The Golden Age est sorti il y a quelques mois déjà. Très différent de ce qu'on entend habituellement, surtout grâce à l'utilisation des cuivres et des inspirations épiques, Woodkid vous enchantera, c'est certain.
Album Golden Age




Son EP

Pour mieux le connaître, voici ses 3 vidéoclips, évidemment réalisé par lui-même. (Remarquez le travail de liaison entre les 3!)


C'est bon. Un point, c'est tout. 
Allez l'acheter. 

vendredi 2 août 2013

Chihuly, l'art de donner le goût de manger des bonbons.




Non mais hein?
Avez-vous tu pas le goût de mordre dans des jujubes? 

Chihuly, c'est un artiste considéré comme le Tiffany contemporain. Il travaille le verre d'une manière assez remarquable comme vous pouvez le voir sur mes petits clichés de cellulaire.

Né près de Washington, ça fait 50 ans que Dave Chihuly travaille le verre soufflé. Il lui impose des formes surréelles, des couleurs abracadabrantes et joue avec la gravité. (et en plus, il porte une patch de pirate, ce qui le rend encore plus sympathique!)



L'exposition est présentée au Musée des Beaux-Arts de Montréal jusqu'au 20 octobre 2013. 
Le prix d'admission 12$ pour les 30 ans et moins, 20$ pour les autres.
Sachez qu'avec votre carte Air Miles vous économiserez 2$ par billet!
(C'est écrit nul part, mais héhé, moi je suis bright pis j'ai cherché des rabais.) 

Seul bémol de l'expo : TROP COURT! Ça vous prendra maximum 20 minutes faire le tour de l'expo, si vous lisez tout et prenez votre temps. Bref, faites comme moi et faites le tour 2 fois. Haha!

Les organisateurs de l'exposition vous invite à prendre des photos des oeuvres d'art de tous les angles et les partager sur les médias sociaux. Partagez le tout avec le mot-clic #Chihuly et faites le lien avec le compte officiel du musée @mbammtl

Bref, amenez-vous un petit sac de jujubes bien colorés et bonne visite! Ü

mercredi 31 juillet 2013

Lecture d'été : Cher trou de cul d'Annie Quintin


J'aurais aimé que ce livre ait été écrit il y a quelques années pendant ma première grosse peine d'amour. 

Car, mesdames, si vous vous êtes déjà faites laissé, vous trouverez dans ces pages un portrait de la situation juste et réaliste qui vous rappellera la pénible situation. Non, mais on en a tu de la peine pis on feel tu tout croche quand on se fait larguer?

Annie Quintin, auteur de Désespérés s'abstenir, propose une incursion dans le monde de la relation et de la rupture amoureuse avec son deuxième roman Cher trou de cul (VLB Éditeurs).  Je l'avoue,  je ne lis habituellement qu'un roman de chicklit par année. L'honneur revient à Mlle Quintin cette fois-ci et heureusement pour moi,  j'ai bien fait mon choix! (On s'entend qu'il est difficile de ne pas s'arrêter devant un livre avec un titre aussi prometteur!)

Le roman raconte l'histoire de Clara Bergeron qui se fait domper PAR INTERNET (Avis aux gars : faites jamais ça, c'est dégueulasse.) par le beau salaud Damien Archambault, 72 jours après le début de leur relation.

Mini extrait (qui m'a particulièrement frappé par sa vérité!) :


* À l'époque, j'aurais ajouté : tu me dois 140$ de kleenex et mange de la marde. 

Parce qu'on a toutes rédigé des lettres ou des courriels qu'on a jamais envoyé. Parce que ce livre nous rappelle comment ça peut être triste une peine d'amour. Mais que ça peut aussi être drôle en titi. 

On s'attache aux personnages dès les premières pages et on fait rapidement abstraction aux clichés de la chicklit (le trio de meilleurs amis, ami gai, ancien chum qui réapparait...). On s'amuse, on passe du rire au motton d'émotions dans la gorge, bref, on passe un bon moment dans l'univers imaginé par Annie Quintin.

Un livre qui se lit d'un trait! Parfait pour l'été et les vacances. Ü 

Je vous invite à suivre l'auteur sur Twitter, elle est ben ben fine : @Annie_Quintin

P.s. Habituellement, je ne lis qu'un seul roman de ce genre par année, mais j'avoue que je suis tenté par son premier roman pour la fin de l'été! 







dimanche 28 juillet 2013

No : quand la publicité libère une nation


En nomination aux Oscars au printemps dernier dans la catégorie du meilleur film étranger, le film NO de Pablo Larrain m'intriguait beaucoup.

Mettant en vedette Gael Garcia Bernal, NO raconte comment, en 1988, la campagne publicitaire du NON a su renverser la longue dictature de 16 ans de Pinochet à la tête du Chili. L'acteur y interprète René Saavadra, un jeune publicitaire qui appliquera les règles de la publicité afin vendre aux citoyens l'idée que le camp du NON est la meilleure option pour leur avenir.


Tourné avec les caméras de l'époque, le film vous plonge directement dans les années 80 avec ses images carrées aux couleurs désaturées et au grain prononcé. Le tiers du film est constitué d'images d'archives (les campagnes, les bulletins de nouvelles) ajoutant au réalisme et permettant aux téléspectateurs de vraiment revivre ce référendum politique historique. Le montage est sec avec ses coupes brusques et ne laisse place à aucun effet spéciaux de notre époque.

Bien que l'histoire présentée dans le film soit une fiction, plusieurs faits se sont inspirés de ce moment historique. En fait, le film s'inspire à la base de la pièce de théâtre El plebiscito de Pedro Peirano. Peu importe la véracité des faits présentés, No nous transporte dans une histoire inspirante et offre un portrait intéressant du Chili.

Un bon 8/10!



jeudi 25 juillet 2013

Hannibal : Quand NBC revisite un classique

J'ai terminé il y a quelques jours la série Hannibal de la NBC.
Un immense merci à mon enregistreur numérique. 




Diffusée entre les mois d'avril et de juin, la série s'inspire du roman Red Dragon de Thomas Harris. Graham est embauché par le FBI pour ses capacités spéciales à déchiffrer la personnalité des tueurs en série. La série met l'emphase sur la rencontre et la relation entre Will Graham et le psychiatre Hannibal Lecter, qui l'aidera dans ses enquêtes.

Le projet est mené par Bryan Fuller, qui avait créé précédemment Pushing Daisies et Heroes. La série met en vedette Hugh Dancy (Will), Laurence Fishburne (Jack), Caroline Dhavernas (Amanda) et Mads Mikkelsen (Hannibal). Ce dernier est l'incarnation même du mal sincèrement, il est hallucinant dans le rôle du mythique cannibale. Je l'avais vu dans A Royal Affair et l'avait trouvé très bon, mais là, on passe vraiment à un autre niveau. Les subtilités de son jeu sont un délice.


L'esthétisme de la série est très travaillé, très léché. On aime l'atmosphère lourde, les couleurs sombres. Le travail sonore ajoute à l'angoisse. La façon d'illustrer les "pouvoirs" de Will est bien pensée aussi. Le réalisme des scènes de crime (un peu gore, on va l'avouer!) Bref, du beau travail!

Chaque épisode porte un nom fort évocateur de l'histoire d'Hannibal, comme par exemple : Buffet Froid, Savoureux, Apéritif, Amuse-Bouche, etc. De quoi vous faire saliver... ou pas! D'ailleurs, toutes les scènes de nourriture chez Lecter sont jouissives car on sait très bien qu'il refile des restes humains à ses invités!

Une série qui vaut sincèrement la peine d'être regardée!
Un conseil : n'écoutez pas la série en rafale. C'est beaucoup trop lourd, déprimant et glauque.

Bryan Fuller a révélé en entrevue au Comic Con cette semaine qu'il prévoyait faire 7 saisons. Bien hâte de voir où il nous mènera!

La sortie DVD n'est malheureusement prévue que pour le 24 septembre prochain.
DONC, si jamais d'ici là vous pouvez y jeter un coup d'oeil, gâtez-vous.
En tout cas, les trois derniers épisodes sont toujours disponible sur le site de la NBC, ici.

mardi 16 juillet 2013

Un vidéo de minions par jour éloigne la déprime pour toujours!


Comment veux-tu être de mauvaise humeur après avoir vu les minions pendant 98 minutes? Impossible! 
Et en plus, avec la chaleur accablante des derniers jours, se rafraîchir dans une salle de cinéma pour rigoler un brin, on ne dit pas non. Surtout quand c'est chéri qui t'invite! 


Despicable Me 2 est maintenant sur nos écrans. C'est le grand retour de mes minions adorés, de Gru (Steve Carell) et des jolies Agnès, Edith et Margo.

Pour ce deuxième volet, Gru qui s'est habitué à sa nouvelle vie de père de famille se voit sollicité par la "Anti-Vilain League" pour se débarrasser d'un vilain méchant. Il acceptera l'emploi afin de découvrir qui a volé un laboratoire dans l'Arctique. Sa partenaire, l'agente Lucy Wild (Kristen Wiig), l'aidera à repérer les cibles potentielles.

L'équipe de production a bien compris quels étaient les points forts du premier film et nous gâte amplement avec ceux-ci dans ce deuxième film avec la forte présence d'une armée de minions et l'adorable et attachante Agnès.


Certes l'intrigue aurait pu être plus travaillée et plus complexe. Mais entre vous et moi, ça ne dérange pas vraiment. Sourires garantis. 

Bref, ne serait-ce que pour retrouver ces joyeux personnages et les nouveaux, c'est certain que vous aurez du plaisir. Mention spéciale à la musique de Pharell Williams qui est vraiment bonne et ajoute un petit plus au film. ET LA FIN DU FILM = rires à gorge déployée. 

Et en passant, pas besoin d'amener votre petite cousine, car quand j'y ai été il n'y avait que deux enfants pour une vingtaine d'adultes! ALORS PAS DE GÊNE ;-) 

Bon cinéma Ü. 


vendredi 12 juillet 2013

STOKER : BEAU, BON, INTRIGUANT!



Park Chan-Wook a réussi son retour sur les grands écrans avec Stoker, son plus récent film, maintenant disponible en dvd. Le réalisateur de Oldboy, nous présente ici un film esthétiquement parfait et où le travail au niveau du son est hallucinant (la scène de l'oeuf!!).


Mettant en scène Nicole Kidman, Mia Wasikowska et Matthew Goode, Stoker raconte l'histoire de la jeune India, qui vient de perdre son père suite à un accident de voiture. Son oncle, dont elle ignorait l'existence, vient s'installer dans la maison familiale avec sa mère. Les soupçons s'installent rapidement quant à sa bonté et son désir de les aider.

La morale du film vous laissera probablement un drôle de goût en bouche vu de récents évènements sur notre continent. Et comme un de mes collègues m'a fait remarquer, il est même étonnant que ce film n'ait justement pas fait jaser vu son angle particulier. Mais bon, on sait tous faire la part des choses, hein?

Stoker, un film à voir absolument pour l'esthétisme, mais aussi pour son ambiance pas trop trop rassurante.

Affiche alternative, beaucoup trop hot!
Crédits d'ouverture, pour vous donner une idée de l'esthétisme!

jeudi 27 juin 2013

City and Colour : un nouvel album magnifique.


City and Colour sortait, il y a quelques semaines déjà, The Hurry and the Harm, un album sincèrement divin.

Toujours cette voix aiguë et éraillée qui nous ensorcelle.
Ces textes sensibles.
Ces mélodies légères et magiques.

Bien meilleur que son précédent, Little Hell, The Hurry and the Harm vous séduira dès la première écoute.

Vraiment, j'ai rien de mauvais à dire.
Pis en plus, le cd, y'a des petits pois dessus. Ü + 1



Garochez-vous.

À écouter : 

  • Paradise : MA TOUNE de l'album. Sincèrement. (Je vous gâte, le vidéo est en bas, awaillez). 
  • Death's song : Pour la petite guitare toute douce. 
  • The Hurry and the the harm : Première pièce de l'album qui vous confirme que vous écouterez l'album jusqu'à la fin tellement c'est beau.