mercredi 2 janvier 2013

Une belle année qui commence : The Hobbit!

Une bonne et heureuse année qui s'annonce : on a survécu à la fin du monde ça ben l'air!

Pour célébrer la fin de 2012 (et en bonus m'évacher et me laisser divertir pendant 2h40), mon copain et moi sommes allés au cinéma voir The Hobbit : An Unexpected Journey.


Le "prequel" du Seigneur des anneaux, m'a laissé un peu perplexe je vous l'avoue. Certes, c'était divertissant, dépaysant et j'ai aimé retourner à la Terre du Milieu.

Gandalf propose une quête hors de l'ordinaire au jeune Bilbo Baggings. Accompagnés de 13 nains, ils partiront à l'aventure vers Lonely Mountain afin de reconquérir l'ancienne cité des nains qui est sous l'emprise du dragon Smaug depuis 60 ans.

Cependant, entre vous et moi, Peter Jackson tombe avec ce premier film d'une trilogie dans le très large public avec les dizaines de blagues lancées trop souvent ainsi qu'à cause des créatures parlantes. Oui, The Hobbit est à la base un livre pour enfants, mais est-il vraiment nécessaire cependant de dépeindre tous ces personnages de façon caricaturale et beaucoup trop joviale?

Dans Le Seigneur des Anneaux, par exemple, c'était toujours Legolas et Gimli qui se lançaient de petites jokes ici et là, allégeant les séquences trop dramatiques, équilibrant le film avec une juste dose d'humour. Avec The Hobbit, ça y va par là. N'allez pas penser que ce n'est pas drôle, au contraire, c'est très rigolo. Sauf qu'avec la précédente trilogie, ce n'était pas ce à quoi je m'attendais.

Les immenses montagnes enneigées, Rivendale et son architecture féérique ainsi que  la verte Terre du Milieu: les paysages et décors sont encore une fois à couper le souffle! Les costumes sont toujours aussi recherchés et détaillés (pensez aux 13 costumes de nains!).



Martin Freeman, qui incarne Bilbo, est très convaincant. Il apporte une petite touche de fantaisie, de bonne humeur et de naïveté qui sied parfaitement au célèbre personnage.  (Je vous avoue que tout le long du film, je ne pouvais oublier son rôle de John Watson dans Sherlock, mais bon, ça c'est parce que j'ai hâte que ça recommence!!)

Enfin bref, un bon divertissement, mais qui tourne plus souvent vers la comédie que l'aventure épique.

Ma note : Un bon 8/10. 





1 commentaire:

  1. Assez d'accord avec vous chère culturee, quoique j'opterais pour un 7 sur 10. Il me semble que dans mon adolescence ou je lisais Tolkien, le Hobbit était l'oeuvre la plus légère et la plus enfantine. Ici M. Jackson, y gâche un peu la sauce avec un peu trop d'humour, mais ce n'est que mon point de vue. On verra bien pour la seconde partie.

    P. Provost

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